Stella Dëvanya [District 1]

Raconte ton histoire...

Cela fait 19 ans que je suis née. Mon nom est Stella Dëvanya, ce prénom vient d'une partie de mon corps, le creux de mes hanches ou se trouves des tâches de naissances représentants des étoiles, quant à mon nom, il me vient tout droit de mon père. C'est la seule famille qu'il me reste. A vrai dire je ne connais pas le reste, ma mère à disparut après m'avoir mis au monde, j'ai un frère, qui a participé au Hunger Games un ans plus tôt, je ne me souviens même plus de son visage et quand je le revois à la télé, il reste pour moi un étranger. Dillan Dëvanya, son nom vous dira peut être quelques choses, il n'a pas gagné les Hungers Games, sa mort ne m'attrista pas plus que ça. Je grandis dans un environnement des plus saints, mon père étant l'un des plus grands fabriquant de bijou du District, il avait assez d'argent pour m'élevez dans des quartier résidentiels qui ferraient pâlir les gens du dernier District. Mais contrairement a beaucoup de gens, je n'ai pas eu l'enfance souhaiter. Je vivais loin des autres enfants de mon âge, je ne suivais pas de cours à l'école j'avais un professeur qui venait chez moi pour m'apprendre tout ce que je devais savoir. Je ne sortais pas, n'avais pas le droit de regarder la télé ni de parler a d'autres personnes autres que le personnel de maison et mon père. J'était et ne suis toujours qu'une poupée que tout le monde se permet de toucher. Très tôt, je découvris que le monde ne tourner qu'au bout du mot argent. Les gens seraient prêta tuer pour avoir quelques crédits en plus, histoire de pouvoir s'acheter une bricoles qu'ils ont déjà dix mille fois. Je n'ai jamais eu besoin de tout ça. Tout ce que j'ai fait jusqu'à présent c'est pour gagner mon indépendance. Je ne pouvais plus rester au cocon familiale, un appartement dans un quartier minable mirait très bien, mais bien sûr mon père, Mickaël, n'était pas de cet avis. La fille Dëvanya vivrait d'un appartement luxueux, il me l'avait payé en échange de quelques services qui n'en était pas vraiment un. Dès mes 16 ans, tous les amis de la famille, n'avait qu'un mot à la bouche en me voyant. J'était bien la fille de Mickael, j'abordée des traits magnifiques digne de ma famille. Je me souviens que lors d'un repas, le bras droit de l'homme qui me sert de père avait proposé une idée originale, qui n'aurait peut-être pas changé le tournant de ma petite vie de fille cachée du grand dictateur qu'était Mickael. "Pourquoi ne pas s'en servir pour accroitre notre succès dans les parure et toute sorte d'accessoire, elle a le corps pour être mannequin." Si l'on ne m'en avait pas empêché j'aurais pu rétoquer, on venait de me traiter d'objet. Mais le destin en fut autrement. Depuis 3 ans désormais, lorsque vous vous promenez dans les grandes allées marchandes vous avez peu de chance de ne pas tomber sur les grandes affiches me montrant accompagné de collier qui coûte bien plus que vous ne l'imaginez. De plus la plupart du temps je suis dans des tenues ...A vous donnez froid et dans des positions assez ... démonstratifs. Mon corps et une arme comme on aime me répéter et je dois m'en servir. C'est surement ça. En tout cas ce boulot permet de largement suffire à mes besoins, j'ai mon chez moi au beau milieu du district. Je suis désormais indépendante comme je l'ai toujours souhaité, je ne me préoccupe de rien d'autre sauf de ma petite personne. J'essaye d'oublier mon passé pour me forger mon avenir et avec un peu de chance sera t-il meilleur.

Qui es-tu ?

« Physique » Stella n’a rien à envier aux belles femmes élégantes et raffinées de la haute société. Son métier ou plutôt son déguisement est devenu une seconde peau, une arme efficace qui lui permet de se transformer en une tout autre personne, de se fondre face des personnages différents. On l’a dit belle mais dissimulée derrière une attitude austère. Sa peau est claire, douce accentuant un aspect d’innocence et de fragilité, qu’elle répugne. Un nez discret, des lèvres légèrement pulpeuses au sourire trop absent et ce qui probablement permet qu’on daigne s’intéresser à elle, ce sont ses grands yeux d’un bleu/gris pur, un bleu merveilleux et reposant pourvus de sourcils fins tranchant avec son caractère ambitieux et implacable. Regard renfermé, aux expressions indécelables. Certains se demandent comment une telle femme a pu trouver sa place dans un district. Stella est une femme à l’aspect rigide. Qui ne serait pas étonné de découvrir derrière ce dernier, une femme pudique, une femme très réservée parfois gênée par sa propre apparence. Dans le creux de ses hanches, des étoiles sont dessinées dans un encre indélébile. Derrière sa démarche affirmée, certains éléments finissent par la trahir. Si ce n’est ses mains sur lesquelles, elle porte une attention presque maniaque à vouloir les entretenir afin que ses ongles restent impeccables ou bien cette chevelure imposante, caressant la cambrure de ses reins, blonds et légèrement ondulés…

« Caractère » Charmante poupée obéissante. Ayant supprimé des sentiments détestables, s'étant conformé à son rôle et s'y maintient avec trop d'ardeur et de fermeté. Regard vide de toute émotion, d’une fragile expression preuve d’un quelconque sentimentalisme ou d’une pensée déviante. Une femme visiblement forte et inflexible, tout ce qu’on attend d'elle. Il n’y avait aucun mérite à être née femme. Même dans une nation qui s’applique avec fermeté à respecter l’égalité entre les sexes. Dès son plus jeune âge, les ainés portaient sur cet enfant, un regard sévère et lourd de sens qu’elle voulait tant ignorer. Tous lui donnaient l’impression que son destin avait été tracé dans les prochaines pages de l’Histoire, qu’elle devrait suivre cette voix et rien d’autre. Si elle tentait au moins une seule fois de s’écarter de ce chemin, les retombées seraient redoutables. Lassitude, fatigue. Jamais. L’orgueil se mue en fierté. La tête haute, jamais elle ne courbe l’échine ou regarde le sol timidement. Elle admire ces êtres qui s’accrochent à leur conviction, savent chasser tout doute ou appréhension. Elle sait se taire, écouter, étudier son entourage et prouver que ses choix, ses décisions ont autant de mérite que ceux qu’on lui propose.